Nous sommes En plus en plus deconnectes de notre corps.
Pourtant, il a bon nombre a nous penser et peut nous aider a aller mieux dans notre tete.
Huit conseils Afin de renouer avec ce corps que nous n’ecoutons pas assez.
Dans nos vies sedentaires, pressees, le corps devra obeir, suivre sans broncher le rythme infernal que nous lui imposons. En aussi temps, nous l’exigeons sain, svelte et seduisant. C’est la le grand paradoxe des rapports que nous entretenons avec lui. Mal a son ecoute aussi qu’on le scrute sans cesse. Nos experts nous montrent De quelle fai§on en finir avec votre desequilibre qui n’est jamais sans incidence sur notre sentiment de bien-etre.
1. On prend moyen de s’observer Afin de se saisir
Nos emotions se traduisent vraiment physiquement. Pourtant, on n’y prete guere attention alors qu’il s’agit la d’indicateurs precieux sur des besoins affectifs.
« Di?s Que une emotion se presente a nous, c’est votre besoin qui s’exprime, dit Sophie Cheval, psychologue clinicienne. Cependant, nous sommes peu entraines a nos identifier, a les nommer et a les accueillir. En passant via une ecoute des signaux corporels, on va pouvoir apprendre a les reconnaitre : “J’ai J’ai gorge serree, qu’est-ce que j’eprouve comme emotion ?” “Maintenant que j’y prete attention, je realise que je me sens triste. Qu’est-ce qui me met dans votre etat ?” “Je ne me suis nullement sentie reconnue ? Comprise ?” Prenez moyen de vous exercer a reperer et cela se passe en vous, ce qui vous frappe dans ces sensations physiques, ainsi, observez les emotions qui y sont associees : vos jambes sont-elles croisees ? Vos epaules remontees ? Votre pied sautille ? Qu’est-ce que i§a signale de votre etat d’esprit, etes-vous tendue, fachee ? Un moyen simple pour mieux se comprendre et agir en consequence. »
2. On ose une fausse crise de nerfs afin d’effectuer baisser la pression
Contrarietes retenues, ras-le-bol, tensions accumulees, liberez-les avec une vraie/fausse crise de nerfs comme le suggere le Dr Olivier Chambon, psychiatre.
- « Allongee paisiblement concernant 1 matelas, apres quelques belles respirations, tapez des poings en soulevant legerement vos bras et, tout en respirant bouche ouverte, ressentez votre force qui sort de vous.
- Prenez une pause, puis faites ainsi avec les jambes
.
- Prenez egalement une pause, et tournez la tete d’un cote puis de l’autre sans violence ni vous forcer, toujours en respirant bouche ouverte.
- Prenez une derniere pause, le temps de ressentir cela se passe dans votre corps, cette decharge d’energie, une telle pression qui diminue pour retrouver une expression ouverte. »
3. On se masse pour se reconforter
Dans nos cultures occidentales, on se pointe minimum, au contraire des cultures orientales ou asiatiques. Pourtant, se toucher, se masser, c’est aider a Notre circulation des energies.
« Une douleur physique ou psychique, c’est forcement un blocage, dit Laurent Turlin, praticien de medecine traditionnelle chinoise. Masser son corps, c’est une maniere de debloquer cette energie qui stagne en soi et qui nous interdit de nous sentir bien.
- Posez votre main droite du cote gauche de ce nuque, et votre main gauche, du cote droit.
- Laissez descendre vos mains ainsi dans les trapezes.
- Continuez de descendre legerement pour masser toutes vos epaules,
- puis prenez-vous dans vos bras tout en actionnant les mains dans un mouvement circulaire et en appuyant plus profondement i propos des points que vous ressentez douloureux.
Adoptez une telle position avec l’intention de vous reconforter. Le cerveau ne fait pas la difference entre le vrai et le faux ! L’action i propos des meridiens energetiques est immediate Afin de vous detendre et vous reconforter. »
4. On bosse sa posture Afin de s’affirmer
Il y a des positions physiques d’affirmation de soi. Ces dames en seront peu defenseurs.
« Dans notre inconscient collectif, des filles, ca ne bouge pas, remarque Chine Lanzmann, coach. Or, la position de notre corps est signifiante. Si l’on parle en se touchant le regard, la bouche, la nuque, on ne ressent jamais notre assurance ! Essayez de marcher i domicile en vous disant interieurement que vous etes une imperatrice, sans caricaturer le role. Instinctivement, on releve le nez, on rejette legerement les epaules en arriere, on adopte une attitude sereine, plus calme. C’est une posture d’affirmation pour nos autres tel pour soi, sans agressivite ni peur, ainsi, une maniere tres simple de gagner en assurance. A pratiquer regulierement, y compris au travail, Afin de l’experimenter ensuite sans y penser. »
5. On renoue avec ses besoins physiologiques
On confond souvent les besoins physiologiques et nos besoins emotionnels. On mange Prenons un exemple sans avoir faim pour tromper l’ennui ou la lassitude. Dans ce cas, on ne repond jamais a la faim, on utilise la peau tel une tentative d’echapper a des emotions desagreables.
« On reste aussi bien loin d’une ecoute attentive de nos besoins physiologiques, constate Sophie Cheval. La meditation en haute conscience peut etre une maniere, parmi d’autres, de nous connecter a nos besoins, en apprenant a reperer et cela se passe en nous. Mais on peut aussi pratiquer plus simplement en permanence une meilleure attention a l’instant present, en pretant attention a votre que l’on fait.