Commentaire concernant le preambule de « Les Confessions » de Rousseau
Je vous propose 1 plan de commentaire dans le preambule de Mes Confessions , de Rousseau.
Allez faire une rapide recherche via votre ?uvre qui m’a beaucoup seduit. ??
N’hesitez gui?re a nous dire en commentaire ce que vous avez degote tel informations, l’objet de ce billet demeure le commentaire compose! ?? (C’est celui que j’avais prepare Afin de l’oral de francais). J’avoue que je voulais vraiment tomber sur votre texte, mais je suis tombee dans un post de Baudelaire…
Donc voila le propos :
Je forme une entreprise(1) qui n’eut jamais d’exemple et dont l’execution n’aura point d’imitateur. J’ai envie montrer a mes semblables un homme dans toute la verite de la nature ; et cet homme, ce sera moi. Moi seul. Je sens mon c?ur, ainsi, je connais les hommes. Je ne suis fait comme pas de de ceux que j’ai vus ; j’ose croire n’etre fera tel pas de de ceux qui existent. Si je ne vaux nullement mieux, au moins je suis nouvelle. Si la nature a bien ou en gali?re fera de briser le moule dans lequel elle m’a jete, c’est votre dont on ne va juger qu’apres m’avoir lu. Que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra ; je viendrai, votre livre a mon tour, me presenter devant le souverain juge . Je dirai hautement : Voila ce que j’ai fera, ce que j’ai pense, votre que je fus. J’ai evoque le beaucoup et le en gali?re avec la meme franchise. Je n’ai rien tu de mauvais, je n’ai rien ajoute de bon ; et meme s’il m’est arrive d’employer quelque ornement indifferent (2), votre n’a jamais ete que pour remplir un vide occasionne par mon defaut de memoire. J’ai pu supposer vrai votre que je savais avoir pu l’etre, jamais ce que je savais etre faux. J’me suis montre tel que je fus ; meprisable et vil (3) quand je l’ai ete, bon, genereux, sublime, quand je l’ai ete : j’ai devoile mon interieur tel que tu l’as decouvert toi-meme, etre eternel. Rassemble autour de moi l’innombrable foule de mes semblables ; qu’ils ecoutent faire mes confessions, qu’ils gemissent de les indignites, qu’ils rougissent de les miseres. Que tous d’eux decouvre a son tour le c?ur au pied de ton trone avec la meme sincerite ; et puis qu’un seul te dise, s’il l’ose : Je fus meilleur que votre homme-la.
1) boutique: ce qu’on se propose d’entreprendre. Projet. Travail. 2) indifferent: sans importance 3) vil: qui inspire le mepris, bas, ignoble. Qui est sans dignite, sans courage ou sans loyaute.
Voici le plan (je ne redige gui?re, a part l’introduction et la conclusion!). Comme je l’ai ecrit plus tot, c’est le plan que j’ai prepare pour l’oral. Pour l’ecrit, il faudrait quand meme plus l’etoffer. Ce plan n’est evidement jamais le seul possible, n’hesitez gui?re a nous proposer d’autres plans ou points constitutifs du plan:
Mes Confessions (1765-1770).
Introduction
Ne a Geneve en Suisse, dans une famille calviniste en 1712 et fond en 1778. Orphelin de mere, Jean-Jacques Rousseau reste eleve par le oncle.Son education se fait au gre des fugues, de l’ensemble de ses errances a pied ainsi que ses rencontres, en particulier avec Mme de Warens.
Il ecrit nos Confessions pour se justifier aupres des personnes, notamment des detracteurs comme Voltaire. Dans le preambule, nous decouvrons un Rousseau justifiant le genre autobiographique pour affirmer sa singularite ainsi que celle de le projet, toute premiere reelle autobiographie.
Annonce en problematique…
Je ne propose pas de problematiques, il y en a plusieurs possibles, a vous une faire coller a votre plan! ??
Annonce du plan…
I- Notre singularite
A) J’ai singularite de l’homme
- les 31 pronoms personnels sujets et complements d’la premiere personne : « je », « mes », « je » , « m’ » (recherchez des exemples au texte, pas besoin de mentionner l’integralite des lignes ) Ces marques une premiere personne temoignent du fait que c’est l’entreprise d’un seul homme.
- Rousseau reste l’auteur, le narrateur et le personnage principal
- Anadiplose : ’’ moi. Moi seul’’ , On a ici la reaffirmation une singularite de le projet en insistant dans la toute premiere personne.
B)La singularite des travaux
- ‘’Entreprise’’ : Terme pas toujours « litteraire ». C’est donc non seulement le travail d’un ecrivain, mais aussi d’un homme bien court.
- Premiere phrase ; 2 propositions subordonnees relatives coordonnees et exprimees a la forme negative. « Je forme une entreprise qui n’eut jamais d’exemple et dont l’execution n’aura point d’imitateur » Notre forme negative permet a Rousseau de montrer qu’il n’existe aucune autre firme semblable.
- Absence de modalisation : Aspect peremptoire (dans bien le propos). Cet aspect peremptoire affirme votre projet pleinement bon et inedit.
C) La relation du « je » avec les autres
- Globalisation des autres « semblables », « les hommes », « ceux » , « l’innombrable foule de les semblables », « chacun d’eux ». C’est une premiere personne beaucoup distincte des autres. On pourrait aussi penser distante des autres.
- Metaphore du moule brise « si la nature a bien ou mal fera de briser le moule dans lequel elle m’a jete ». Rousseau indique ainsi qu’il est different des autres et qu’il n’y en aura nullement un nouvelle tel lui puisque le moule dans lequel la nature l’a jete est brise. Personne ne pourra donc Realiser 1 pareil projet.
II- J’ai verite du discours autobiographique
A) Le pacte autobiographique
- Champ lexical de la verite « toute la verite en nature », « je dirai hautement », « franchise. Je n’ai rien tu de mauvais, je n’ai rien ajoute de bon », « vrai », « faux », « j’ai devoile mon interieur ». telecharger biggercity Une volonte de Rousseau de tenir un discours veridique, honnete.
- Notion de ‘’verite’’ essentielle au genre autobiographique. Notre genre autobiographique permet de dire notre verite. Moyen avec lequel Rousseau choisit de se confesser.
B) Notre verite exhaustive
- Emphase = ‘ ’ Voila ce que j’ai fait’’ + ‘’ votre que j’ai pense’’ + ‘’ votre que je fut’’ =Recit de vie + Analyse psychologique + Expression du moi le plus profond. Avec votre procede, Rousseau introduit en quelque manii?re l’article de son autobiographie, et se place dans un discours veridique.
- On doit que J’ai verite soit objective d’ou l’association d’un element mauvais a un facteur bon « le bien et le en gali?re », « mes confessions », « faire mes indignites » Cette alternance temoigne d’une volonte d’objectivite, mettre via le meme plan les aveux negatifs et les aveux positifs, preuve de courage.